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En empruntant ce livre à la bibliothèque, je pensais lire un roman "feel good" où tout est bien qui finit bien, d'ailleurs ça commençait comme ça, la rencontre de trois personnes blessées par la vie, et on se dit c'est cousu de fil blanc, ils vont s'aimer et baigner dans le bonheur. Sauf que tout à coup, tout change et là je réalise que ce n'est pas du tout un roman "feel good" ou alors pas tel que je le conçois.
Si j'avais su que l'histoire allait dans cette direction , je ne l'aurais jamais ouvert ce livre. , je ne lis jamais ce style de livre parce que la vie est suffisamment remplie de tragédies sans en lire en plus.J'ai tout de même voulu savoir comment Julie allait surmonter ce drame, je crois que le mot n'est pas assez fort, j'ai donc survolé la 2eme partie, lu en diagonale pour le finir et ne pas être touchée par cette histoire.
J'ai aimé la première partie, la bonté de Paul, la volonté de Julie, le désarroi de Jérôme et le petit Lulu…
Tous les quatre s'étaient trouvés, ensemble ils allaient se reconstruire, s'épauler, le bonheur était là. Et puis la deuxième partie du livre commence, et je continue de penser que tout va s'arranger, c'est un roman plein d'espoir, qui fait du bien, c'est écrit sur la 4eme de couverture :
: "Juste avant le bonheur" fait partie de ces (trop rares) livres qu'on a envie de rouvrir à peine refermés, tout simplement parce qu'ils font du bien !"
Non, je n'ai pas envie de le rouvrir, mais ce n'est que mon avis , il ne fait pas du bien , d'ailleurs qu'est-ce qui pourrait faire du bien dans ce livre ? La vie continue, oui, il le faut bien mais le bonheur, Julie, je crois qu'elle ne le retrouvera pas.
Je ne critique pas le livre en lui-même, ni l'histoire, ni l'écriture mais la 4eme de couverture , je la trouve mensongère.
Ce livre est ma 8eme lecture de l'été comptant pour le challenge de Saefiel